Aujourd'hui, Almaz avait réussis à se trouver un job dans le Netherworld. Il n'avait pas d'argent et vivait un peu mal sa pauvreté... Il n'avait pas d'eau et pas d'électricité dans sa chambre dans la evil academy. Et chaque fois qu'il avait de l'argent, sois il le perdait, sois Merrykcle-sensei le volait. Il lui fallait un job et vite. Maintenant, il est caissier dans un magasin.

Tout content comme l'imbécile heureux qu'il est, il chantonnait devant la caisse où il travaillait. Il était heureux d'arborer le magasin avec son tablier où la marque de l'endroit où il travaillait était marqué en grand dessus. Tout se passait bien. Du moins pour l'instant....

- Comment ça narrateur ?

Ne me parle pas ! Bref, tout n'allait pas bien... Quand les clients commencèrent à arriver, Almaz était un peu perdu et les autres démons se moquaient de lui en le voyant. Certains le tapaient pour ne pas payer, d'autre se contentaient de se moquer de lui et de son tablier moche. Mais Almaz s'en fichait, il ne voulait qu'une chose : sa paye à la fin du mois.

- Qu'est ce qui pourrait m'arriver de pire ? Je suis un caissier dans un magasin, alors que j'étais un fier chevalier humain ...

Ne t'inquiètes pas Almaz... Il y a toujours pire. Merrykcle, la fameuse professeure humaine d'histoire était là devant lui. Il voulut d'abord se cachait mais Merry le retient et fit un sourire sadique. Elle le martela de coup et partit avec une barre chocolaté.

- Q-quoi tout ça ... Juste pour une barre chocolaté ?!

Almaz essaya tant bien que de mal à se rafistoler avec des pansements
, Merry n'était pas allée de main morte avec lui.

- J'ai vraiment touché le fond finalement.

Il se rassit sur sa chaise, un peu triste alors qu'il était heureux de travailler. Un autre client entra dans le magasin.

"Gloups"]



Seulement, ô monde cruelle, désespoir absolu, toute cette bonne humeur retomba au point -50, lorsqu'elle se rendit compte... qu'elle n'avait plus de bonbons ! Elle avait mis sa chambre sans dessus-dessous pour trouver le moindre petit rond sucré ou arme fatale favorisant le développement des carries, dont elle n'avait plus eut de nouvelles depuis sa naissance, en vain.

A deux doigts du suicide, elle se rapella alors que cet endroit possedait une boutique [plusieurs même , je t'informe]. Elle s'habilla en vitesse, c'est à dire un quard d'heure, revêtant une robe courte noire et des mi-bas rayés

Spoiler:

et partit au galop, poussant tout le monde, les faisant dégringoler dans les escaliers et se briser la nuque en bas, rien de bien important par rapport à son besoin urgent de sucreries. Elle arriva devant une boutique et rentra dedant. Alors, elle vit un petit bonhomme, assis sur une chaise et portant le tablier du magasin, semblant malheureux. Elle s'approcha.

- Eh, monsieur ça va pas ?

Une jeune fille s'approcha de lui. Elle était habillée d'une robe noir un peu courte à son humble avis et des collants rayés. Almaz se dit dans sa tête : "elle est bizarre cette fille".

- Hey ! Narrateur ! Regardes pas dans ma tête !

Je suis un peu obligé mon pauvre Almaz. Ce dernier se leva à la vue de la demoiselle, il souri d'un sourire qui tremblait un peu. Il se remémora le fait que les démons et que sa prof d'histoire se sont montraient méchant avec lui. Il se demanda si cette inconnue aussi va le frapper...

- B-Bonjour ! Vous... Vous êtes la bienvenue dans le magasin du Netherworld, ici... Tout est cher et rien n'est bon mais ce n'est pas grave ...

Il bafouilla un peu et baissa la tête. Il se demanda quand elle allait commencé à lui arracher les yeux pour les faire frire ensuite les manger avec de la mayonnaise. Eh oui, Almaz s'attendait au pire. Il envisagea même qu'elle lui arrache les cheveux pour les faire entrer dans les oreilles. Almaz redoutait ça.

- Q-Que Voulez... Q-Que désirez vous ?

Il bafouilla encore. Il était à la limite des larmes, il avait vraiment peur. Son visage était rouge et se demandait combien de temps il allait survivre... Au cas où elle tenterait quoi que se soit il tenu près de lui son épée... On ne sait jamais.

Attention Mademoiselle ! Almaz tient une arme !

- Narrateur, ça sert à rien elle peut pas t'entendre !

Je voudrais savoir ce que vous avez.

Almaz se mit à réfléchir et de se remémorer ce qu'il y à dans les stocks mais là, c'était une colle qu'elle venait de lui poser comme ça. En réfléchissant, elle demanda :

- Et où son les bonbons aussi ~

Là, aussi il ne savait pas trop où ils pouvaient se cacher et tout de suite, une autre voix venu de nulle part dit :

"Vous ne lachez pas l'affaire vous ~Lero !"

D'où venait cette voix ? Almaz regardait partout mais ne vit rien.
- Ca veut dire quoi ça ?


Elle jeta un regard noir à son parapluie. Almaz réalisa qu'elle parlait avec con parapluie. Wouah le choc... Il se dit dans sa tête : "il lui manque une case ou quinze". Ensuite, elle le regarda comme si elle attendait une réponse.

- Euh... Vous réalisez que vous parlez avec un parapluie ?

Abruti ! Elle voulait savoir où se trouvent les bonbons ! Almaz l'imbécile sua à grosses gouttes.

- Ah ! D'accord !

Il se mit à réfléchir ! MIRACLE ! Il repensa à sa formation éclaire donnée par le propriétaire du magasin. Il se souvenu que les bonbons se trouvaient dans un bac mangeur d'enfants que le propriétaire avait déconseillé à Almaz de fouinait dedans pour attraper des bonbons. Le propriétaire détestait les enfants qui venait demander des bonbons.

- Euh c'est dans le bac là-bas ! Mademoiselle ! Dit-il en désignant du doigt le bac de forme étrange.

Almaz...

- Qu'y a t-il narrateur ?

Tu viens juste d'oublier de lui dire qu'elle allait se faire manger...

Le visage de Almaz se figea après cette boulette.

Le garçon fit :

- Euh... Vous réalisez que vous parlez avec un parapluie ?

Fidora inclina le tête de côté et le regarda avec de grands yeux, l'air de dire "et alors ?" car après tout, pour , c'était tout à fait naturel de parler avec un parapluie parlant. Sauf qu'elle avait ommis de prendre en compte le fait que lui il ne savait pas qu'il parlait.
Il sembla se rendre compte qu'il avait répondu à la mauvaise question et se rattrapa :

- Euh c'est dans le bac là-bas ! Mademoiselle !

Et il lui désigna un bac bizarre duquel émanait une drôle d'aura plutôt sombre. Mais des aura sombres, celle de Fidora était la plus grosse, alors c'est à peine si elle le remarqua, et qu'elle vit Almaz faire la tete d'une personne venant de voir un fantome, et elle s'élança vers le bac en question.
Arrivée devant lui, elle plongea à moitié à l'intérieur pour attraper sa précieuse nouriture sucrée qui donne des carries aux petits enfants qui ne se brossent pas les dents. Seulement voilà, le bac sembla vouloir l'avaler. Un meuble vivant ?
Le bac s'immobilisa soudain, et Fidora ressortit, les bras chargés de bonbons. Une aura maléfique l'entourait et tenait le meuble en respect, le faisant trembler. Elle lui jeta un regard noir.

- Alors on ne sait même pas reconnaitre ses maîtres ?

Almaz fut choqué par la scène qui venait de se dérouler devant ses yeux abasourdis. Non seulement il avait failli être un meurtrier en oubliant de dire que le bac à bonbon était une machine à tuer les enfants mais en plus la jeune demoiselle avait mis en respect le bac.

- Narrateur ... J'ai peur... Et ça rime en plus....

Almaz ne comprenait pas pourquoi le bac s'était tout à coup mit en immobile alors qu'une jeune demoiselle cherchait dans sa gorge des bonbons.

- Comment ça se fait ?

Abrutit ! C'est pas comme ça que tu dois réagir !

- Ah mais oui ! Mademoiselle vous allez bien ? Dit-il en se précipitant vers elle.

Il remarqua qu'une aura inquiétante s'émanait de la jeune fille. Son corps trembla et des gouttes sueur tombèrent de son front. Il eut tout à coup très peur et les seuls mots qui arrivèrent à sortir de sa bouche étaient :

- Ça fera 40 pièces .... S'il vous plaît ...

Oh l'abrutit je vous le jure !

- Les voici... vous pouvez les ramasser s'il vous plait ? J'ai les mains prises . ^^

Almaz avait peur. Cette jeune fille semblait violente et terrorisait son parapluie qui cracha des pièces. Oui, il cracha des pièces. A cette pensée, il sursauta. Ce n'est pas normal se dit-il. Non mais vraiment pas normal.

- Narrateur... Au secoure...

Je suis qu'un simple narrateur, je ne peux t'aider... La jeune fille sourit et dit à Almaz de ramasser les pièces. Le héros qui en était pas un, se pencha et les ramassa. Son corps tremblait... Il avait très peur mais de quoi ? Il avait même oublié qu'elle était la raison de ses sueurs froides. Il compta les pièces, il semblait y avoir bien le compte. Cependant il remarqua que ces pièces n'étaient pas normaux. C'était des fausses.

-Euh ... Mademoiselle... Comment dire .... Je ... Euh ...

Mais vas y abruti !

- Oui !!! Mademoiselle !

Almaz tremblait mais il prit son courage à deux mains et dit :

- La maison n'accepte pas la fausse monnaie ! Faîtes un effort ... Je veux pas être viré dès le premier jour ! Comprenez moi mademoiselle !

Pour la première fois de la journée, Almaz était courageux et a dit ce qu'il pensait. Entant que son narrateur, je suis fière de lui.

- Euh ... Finalement faîtes comme vous voulez ...

Imbécile !

Almaz regarda avec consternation et frayeur la demoiselle regardait son parapluie en lui demandant comment cela se faisait-il qu'il avait donné des fausses pièces. Le parapluie lui répondit à voix plutôt basse. Mais Almaz entendit très bien "à sec". Il conclut alors que le parapluie ainsi que la fille étaient pauvre. Bravo Sherlock !

- Merci Narrateur !

Ensuite, la jeune fille lui sourit l'air gênée ce qui fit peur à Almaz mais aussi ça lui fit sursauter. C'est une vrai gonzesse celui là ! Elle lui dit ensuite :

-Je suis vraiment désolée. Est-ce que vous pourriez attendre que j'aille en chercher chez.... euh, quelque part ? Lero n'est jamais à plat d'habitude...

Almaz commença à pleurer en croyant que la jeune demoiselle avait des problèmes d'argent. Il imagina la fille avec des habits déchirés et sales, en train de mendier dans la rue avec son parapluie à la main si il refusait de lui laisser les bonbons. Ses larmes coulèrent comme une fontaine. Ce que venait de dire la jeune fille était émouvant d'après le cœur trop sensible de Almaz.

- Oui, oui tu peux ! Tu n'es même pas obligée de venir payer. Dit-il en mettant ses mains sur ses épaules. Tu n'es pas trop pauvre ? Tu veux autre chose ? Ton parapluie ne souffre pas trop ? vas y prend ce que tu veux !

Almaz essuya ses larmes et sourit à l'idée de ce qu'il venait de faire était digne d'un héros. Un acte complètement désintéressé la rendu fière de lui. Il était devenu un démon depuis qu'il était eu Netherworld mais il garda son cœur de héros qu'il avait quand il était un simple humain.

- Je suis fière !

Euh ... Almaz ... Si ça se trouve, elle se fout de toi !

- Oh ?

La demoiselle venait de se moquer de lui radicalement. Elle s'arrêta un quart de seconde pour dire :

- Non... désolée mais... c 'est trop drôle... je ne me moque pas de vous hein... mais là... je suis pas pauvre ... c'est juste que Lero était à sec, ça veut pas dire qu'il ne me reste plus de ressources... XD

Elle se mit encore à rire après et elle s'accrocha à Almaz pour ne pas tomber par terre.

- Désolée si vous avez mal compris... XD

Elle se remit dans son état normal.

- Je vous les laisse le temps que je revienne, je suppose ? N'allez pas avoir d'ennuis avec votre patron à cause de moi... Kufufufufu~

Almaz était hébété. La demoiselle était en train de partir. Il croyait faire une bonne action mais en réalité on se moquait de lui car il avait essayé d'être gentil.

- ça m'apprendra d'être gentil... Moi qui pensait être un grand héros ....

Ne perd pas courage Almaz ! Almaz s'assit derrière sa la caisse sur sa chaise. Il baissa la tête, il réfléchit et se dit qu'il était tout simplement bête et que rien ne pouvait le changer. Il pensa à cette drôle de fille. Elle était effrayante et en même temps on aurait dit une gamine. Il se disait qu'il devrait lui demander son nom et qu'elle deviendrait peut être une habituée du magasin. Il ne savait pas trop quoi faire en attendant son arrivé. Bref aujourd'hui était un drôle de jour pour lui. Il espérait ne plus jamais à revivre ça.

- Rah la vie est dur parfois !